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Château du Rivau
Jardin de l'entrée du château
Les Châteaux et les Parcs et Jardins du Centre, véritables richesses régionales, sont des lieux privilégiés pour promouvoir ces variétés légumières.
En s’engageant dans ce projet, ils deviennent de réels « ambassadeurs » de la richesse légumière régionale auprès du grand public
potager du Rivau cultive une collection de 43 variétés de cucurbitacée
le château du Rivau, et ses 14 jardins de conte de fées
Le château médiéval du Rivau est intimement lié à l'illustre famille des Beauvau.
Apparentés aux comtes d'Anjou, ils avaient le privilège dès le XIe siècle de rendre hommage à leur suzerain l'épée au côté, debout, et le chapeau sur le chef.
Au XIIIe siècle, les Beauvau passèrent au service des rois de France.
Ils furent ensuite alliés à la famille royale par le mariage d'Isabeau de Beauvau avec Jean II de Bourbon en 1454.
Grands serviteurs des rois de France, de nombreux Beauvau donnèrent leurs vies pour le royaume.
Construit en 1420 et apporté en dot par Anne de Fontenay lors de son mariage en 1438 avec Pierre de Beauvau, celui-ci, premier chambellan de Charles VII obtient l'autorisation en 1442 de faire fortifier son château médiéval.
Le château du Rivau devient ainsi un des premiers château de la Loire.
Il meurt à la bataille du Castillon qui mettra fin à la guerre de Cent ans en 1453.
Le donjon du château du Rivau, XVe siècle
Classé depuis 1918, le domaine du Rivau bénéficie depuis 20 ans d'une très importante campagne de sauvegarde menée par ses propriétaires actuels, la famille Laigneau, entourée d'une fidèle équipe.
Le château médiéval et les communs Renaissance ont été restaurés et aménagés pour lui redonner vie. 14 jardins ont été dessinés et labellisés Jardin Remarquable en 2004.
L'épreuve d'un très important incendie, survenu en juillet 2010, a été surmontée par la famille Laigneau qui a reconstruit en 2 ans l'ouvrage décimé par le feu.
Entrée du château
. Vers la fin de la guerre de Cent ans, Jeanne d'Arc et ses compagnons viennent quérir au château du Rivau, déjà renommé pour la qualité des destriers de guerre qui y étaient élevés, des chevaux d'équipage, avant le siège d'Orléans, en 1429.
L’arrière du château
À la fin du XXe siècle, coup de baguette magique : le Rivau, après une campagne de restauration de 10 ans, retrouve sa splendeur, et semble à nouveau s’être échappé d’un album de contes et de légendes.
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