top of page

Monastère Roussianou

Escalier pour aller au monastère

Le monastère actuel a été construit au XVIe siècle, sur les ruines d'un ermitage du XIIe siècle.
Il sert aujourd'hui de couvent à une communauté de religieuses. Il offre un panorama exceptionnel sur la vallée et la rivière.


Il se compose de deux églises : l'une, du XVIe siècle, a été endommagée durant la Seconde Guerre mondiale, et la seconde, qui remonte au XVIIIe siècle, est dédiée à Saint Charalampe de Magnésie et abrite certaines de ses reliques.

Si le monastère Saint-Stéphane est le plus riche de tous les monastères des Météores, c’est aussi le plus accessible pour les touristes. De loin, il ressemble à un château fort.
De fait, ce monastère, qui abrite aujourd'hui un couvent de religieuses, se dresse sur un rocher séparé de la montagne par un ravin.
On y accède par un pont de pierre.

A l’entrée du monastère, une épigraphe mentionne la présence, en 1180, de l’ermite Jérémie et la construction, en 1192, des premiers bâtiments sur le promontoire.
L’histoire du monastère est par la suite marquée par la visite, en 1333, de l’empereur byzantin Andronikos Paléologue. Enthousiasmé par l’accueil chaleureux des moines, il offrit au monastère des terrains et de l’argent en abondance.

En 1545, le monastère obtint son indépendance de l’évêché de Staghi. 1798 vit la construction de l’église Saint-Charalambos.
En 1850, le monastère construisit à ses frais l’école de Constantin, à Kalambaka, et offrit 80 000 drachmes-or pour la construction d’une école secondaire à Trikala.
En 1960, le monastère, presque désert, fut transformé en monastère de moniales, et il prospère depuis lors.

Le jardin

Petite chapelle

Il se compose de deux églises : l'une, du XVIe siècle, a été endommagée durant la Seconde Guerre mondiale, et la seconde, qui remonte au XVIIIe siècle, est dédiée à Saint Charalampe de Magnésie et abrite certaines de ses reliques.

La petite chapelle de Saint-Stéphane, construite dans la partie orientale du couvent, mérite d’être visitée pour ses fresques, même si certaines ont été très endommagées par le temps et quelques envahisseurs sans pitié.

bottom of page