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La Roche Posay
l'époque gallo-romaine, La Roche-Posay était une station thermale10.
Le 23 mai 1806, La Roche-Posay absorbe la commune de Posay-le-Vieil par décret11.
Pendant la Seconde Guerre mondiale12, le 4e régiment de zouaves fait sauter les entrées du pont en béton armé, conçu par Albert Caquot et construit en 1937.
C'est un pont en arc à deux articulations avec tablier au-dessus de l'arc,
d'une portée principale de 59 m.
Ce pont aura aussi servi à évacuer l’or entreposé dans la Banque de France de Poitiers13,14. Quelques jours plus tard, la ligne de démarcation traversait la commune15, et était située en haut de la côte route de Châtellerault.
Le chef-lieu se trouvait en zone occupée. Un point de passage de la ligne de démarcation se trouvait sur la commune16.
Le territoire communal est arrosé par les rivières
Creuse et Gartempe.
Le confluent de ces deux cours d'eau est sur le territoire de la commune.
Robert Périvier, chef de district de la Régie d'Électricité de la Vienne, titulaire d'un laissez-passer, a ainsi pu faire passer de nombreux résistants en zone libre.
D'autres habitants de la Roche Posay ont aussi fait passer clandestinement la ligne de démarcation : Eugène Guillemain, employé à la centrale hydroélectrique du Moulin de Gatineau, et sa femme Adrienne Malbran, aidés par Gustave Saulnier, de 1940 à 1942 ; Marie-Louise Malbran et sa fille de 10 ans Marie-Thérèse faisaient passer du courrier en zone libre .
La ligne de démarcation dans la Vienne).
Roche Posay L'église Notre-Dame.
L’abbé Charles-Amarin Brand, futur archevêque de Strasbourg, sauva, du 27 août 1944 au 29 août 1944, trente notables de La Roche de la colonne allemande Elster qui ouvrait la route à une grosse unité du Reich.
Le commandant exigea du jeune aumônier l'abbé Brand, germanophone, de négocier avec les FFI la non-destruction du pont de Preuilly et la cessation des attaques des résistants contre sa colonne.
Ce qui fut fait. En 1994 fut inauguré le square Abbé-Brand.
Roche Posay Porte de la ville
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